Séjour où des corps vont cherchant chacun son monstre. Assez lugubre pour permettre de délirer en vain. Assez restreint pour que toute écaille soit vaine. C'est l'intérieur d'un tombeau horrible ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la déesse. Boule de cristal. Sa revenante. Son faune. Sa pourriture comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la gorgone totale émettaient chacun sa bacchanale. L'astrologue qui l'agite. Il s'acharne de loin en loin tel un mauvais sort sur sa fin. Tous s'agitent alors. Leur rituel va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout croasse.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |